Making of du roman



L'art et le lycéen dans sa ville : Paris
(dans son école, dans ses voyages...)


Comment participer ?

Romancier "en devenir" et/ou critique littéraire, vous envoyez vos textes à cette adresse :

Vous pouvez commencer à envoyer vos propositions de débuts de romans, de synopsis et de chapitres initiatiques dès aujourd'hui, en respectant les enjeux d'écriture : le personnage (ou le collectif de personnages) est lycéen et romancier-poète. Il fréquente les lieux artistiques et s'engage dans une aventure d'écriture romanesque qui tendrait, suivant la voie ouverte par les "nouveaux romanciers" à mettre en scène "l'aventure d'une écriture" sans pour autant renoncer à raconter une histoire, à "l'écriture d'une aventure" .
Vous pouvez également envoyer vos commentaires sous la forme d'articles.
Les chapitres de roman paraîtront au fil des propositions de chapitres des romanciers lycéens, accompagnés de comptes-rendus de lectures de ces chapitres dans le making of du roman.
Les chapitres et les comptes-rendus de lectures seront lus par le Comité éditorial des lycéens et le Bureau des lecteurs composé d'artistes professionnels ou amateurs engagés personnellement dans un processus de création artistique.

Dès que le synopsis définitif de 25 à 30 chapitres sera fixé, les romanciers lycéens-poètes pourront contribuer à l'écriture collective de ce roman en proposant la rédaction du chapitre de leur choix.

Tous les personnages de ce roman expérimental seront évidemment fictifs et toute ressemblance avec des personnes, des lieux et/ou des situations réels serait coïncidence en "Cercles/fictions"sur les axes diachroniques et synchroniques.

Votre anonymat sera respecté, mais vous pouvez proposer un pseudonyme.

"Tempo è galant'uomo"

Un "dialogue intergénérationnel" pour "une parole plus profonde que la tolérance", Hannah Arendt citée par Raphaël Enthoven sur la scène de l'Odéon-Théâtre de l'Europe au cours dans le cadre des "Traversées philosophiques" : "les philosophes amoureux".
"On ne pense que par images, si tu veux être philosophe, écris des romans", pour éviter les dérives discursives sans prise sur le réel et les malentendus (« mal » entendu ?), fais du théâtre, Little Boy ! conseillerait peut-être Albert Camus qui avouait*  être heureux dans un théâtre, parce que « La jeunesse n'est pas un âge heureux. C'est l'âge où l'on espère peu. C'est l'âge où le passé est le plus pesant» ainsi que le reconnaissait Olivier Py en en 2009 dans sa Leçon inaugurale au TNP de Villeurbanne à l'occasion du séminaire national "Enseigner le théâtre au collège et au lycée aujourd'hui".
* avouait car il est malséant, ajoutait dit, de montrer sa joie et son bonheur, d'afficher sa bonne humeur sans provoquer le mépris qui est selon lui, toujours une forme de sottise.
http://tempoetheatre.blogspot.com